• Des rafales de plus de 80 km/h dans les Hauts de l'île ce matin

     


     
    Des rafales de plus de 80 km/h dans les Hauts de l'île ce matin
     
     
    Des rafales supérieures à 80 km/h ont été enregistrées hier soir dans les Hauts de la Réunion, rapporte le site Actu Météo 974. A 6h ce lundi, des vents de 82 km/h ont soufflé au Volcan et de 79 km/h à Petite France. Sur le site du Maïdo, les rafales ont même atteint 90 km/h.

    Et ça ne risque pas de se calmer, si l’on en croit Météo France. Les prévisionnistes indiquent que "le vent d'Est à Sud-Est continuera à souffler aujourd’hui, avec des rafales pouvant atteindre 70 km/h sur Sainte-Marie et jusqu'à 75 km/h sur Saint-Pierre". "De bonnes rafales se produiront également en altitude sur les crêtes et sommets", ajoutent-ils.  

    Tandis que la situation devrait "peu évoluer dans l’Est", Météo France prévoit un temps maussade dans l’Ouest de l’île, avec "des nuages menaçants et des averses localement modérées" dans les Hauts.

    La houle d'alizé modérée, d'environ 2,50 mètres et jusqu'à 3 mètres en soirée, déferlera également sur les côtes Sud-Est et Est de l'île.
     

     

    Lundi 1 Juin 2015 - 08:53

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  • Fortes rafales de vent : Maurice ferme ses écoles.

    Les hauts de La Réunion touchés

     

     

    • Réunion 1ère
    • Publié le 01/06/2015 | 08:46

     

    La station météo de Vacaos a émis un avis de vents forts ce matin. En conséquence, le ministère de l’éducation a décidé de fermer les établissements scolaires.

    A La Réunion, la nuit dans les hauts a été agitée.

    © Lyz Dumont
    © Lyz Dumont

     

     

    Tous les établissements scolaires sont concernés. Seuls les établissements tertiaires et universitaires resteront ouverts. 
    Durant la nuit les plus fortes rafales ont été enregistrées, comme au Morne avec 94 km/h.
    Le phénomène a également frappé La Réunion cette nuit.


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  • DEBAT SUR RADIO RÉUNION PREMIÈRE


    " La Carrière de Bois Blanc, à prendre ou à laisser ?"
    De 12h15 à 13h . Prenez part au débat

    .Plus on est nombreux à les appeler , plus on sera pris au sérieux.


    Vos questions , vos réactions, par téléphone au 0262 99 2000, par texto au 0692 608 335 ou encore sur le lien de Réunion Première.


    ON COMPTE SUR VOUS !

    Photo de CDLA 1ère - C'est Dans L'Actu.

    « C’est dans l’actu », ce LUNDI, à 12h15 sur Réunion 1ère radio : la carrière de Bois-Blanc, à prendre ou à laisser ?

    A cheval sur les 3 communes des Avirons, l’Étang-Salé et St-Leu, ce site doit alimenter la future route du littoral en roches massives. Ce projet est-il capital pour l’activité du BTP ? L'exploitation de cette carrière menace-t-elle l'environnement ? Les riverains ont-ils raison de s'inquiéter pour leur santé ?

    Nos invités : Maximin Boyer (membre du collectif « Touch pa nout roche ») ; Michel Dennemont (maire des Avirons) ; Dominique Fournel (vice-président de la Région délégué à la nouvelle route du Littoral) ; Hermann Elise (président du syndicat VTR, Vigilance des Terrassiers de La Réunion).

    Vos questions, vos réactions, par téléphone au 02.62.99.2000, par SMS au 06.92.608.335, via Twitter avec le ‪#‎CDLA‬ 1ère.

     


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  • Les comptes bancaires des Réunionnais contrôlés

     

     

     

    • Clicanoo.re
    • publié le 27 mai 2015

     

     

     

    La Réunion compte 308 727 bénéficiaires de la CMU complémentaire. Leurs comptes bancaires seront bientôt examinés par l'Assurance-maladie afin de lutter contre la fraude (photo Frédéric Laï-Yu).

     
     

     

    Dans l’île, 308 727 Réunionnais bénéficient de la couverture maladie universelle complémentaire. La Sécurité sociale va examiner leur compte en banque, d’ici la fin de l’année, afin de détecter d’éventuelles fraudes.


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  • « Sous effet, j'ai couché avec un inconnu »

     

    •  Clicanoo.re
    • publié le 4 mai 2015

     

     

     

    Les jeunes rencontrés lors de notre reportage mélangent régulièrement souvent alcool et zamal. Un cocktail explosif.

     
     

     

    Selon une enquête nationale, près d'un jeune de 17 ans sur deux a déjà fumé du cannabis. Cette pratique s'accompagne d'une consommation d'alcool et de tabac. Rencontre avec trois lycéens réunionnais qui ont dérapé en raison de leurs excès.

     

    ADDICTIONS DES JEUNES

     

    NINA, 17 ans :

     

    Sous effet, elle couche avec un inconnu

     

    Nina se souvient parfaitement de son premier joint. C'était en 2013, deux mois après son entrée en Seconde. « J'ai testé le zamal un vendredi matin avec mes camarades avant de reprendre les cours. Nous n'avons pas arrêté de rigoler », raconte la Réunionnaise, une brune de peau âgée de 17 ans. Une expérience qu'elle renouvelle à de nombreuses reprises. La lycéenne de Pierre Poivre, à Saint-Joseph, maintenant inscrite en Première ES (Économique et sociale), fume régulièrement. Elle boit également lors de sorties en boîtes de nuit. Bonne élève à 15 de moyenne par trimestre, ses parents lui accordent une totale confiance. Elle en profite donc pour aller se défouler sur les pistes de danse après avoir consommé des substances interdites. L'occasion de rencontrer des garçons plus âgés. Elle se rappelle d'une soirée trop arrosée. « J'ai bu une dizaine de shots de téquila en tirant quelques taffes. » « J'ai flirté avec un homme de 21 ans. Sous l'effet de l'alcool et du zamal, j'ai couché avec cet inconnu dans sa voiture. J'étais tellement enivrée que j'ai laissé faire », ajoute celle qui veut plus tard ouvrir son magasin de mode.

     

    TRANSGRESSIONS

     

    « Je n'ai pas regretté cette nuit-là mais je suis plus attentive. Je m'efforce de ne pas fumer et boire en même temps. J'ai besoin de l'un ou de l'autre pour me lâcher. » Le lendemain de cet épisode, la Sudiste s'attire les foudres de ses parents. Pas à cause de son aventure sexuelle mais en raison de sa gueule de bois. « Je sentais l'alcool. J'ai reçu une leçon de morale. J'ai réussi à m'en sortir en leur disant que je n'avais consommé qu'un verre ou deux », rigole-t-elle, fière de l'anecdote. Malgré son âge, son père et sa mère semblent ignorer ses transgressions. « Je les mène en bateau. Je suis leur petite dernière. Ils ne se rendent compte de rien », dévoile la jeune Nina. L'amour parental peut lui aussi être aveugle.

     

    LIONEL, 17 ans :

     

    Viré du lycée à cause du zamal

     

    Lionel passe au travers de son année de Seconde. Ses résultats chutent. Le manque de travail est en cause mais pas seulement. Ses « dalons » exercent sur lui une mauvaise influence. Il commence à fumer du zamal avec eux. Sa pratique tourne à l'addiction pour devenir une habitude pratiquement quotidienne. Convoqués par le proviseur, ses parents le changent d'établissement à la rentrée scolaire 2 014. Une décision prise après plusieurs dérapages. Il intègre alors un autre lycée de Saint-Pierre. De peur d'être reconnu, l'adolescent de La Ravine-des-Cabris refuse de donner davantage de détails. Il accepte malgré tout de se replonger dans ce passé troublé.

     

    « exclu temporairement »

     

    « J'allais fumer dans un caro d'bois. Mon professeur principal avait remarqué mes yeux rougis. Il a bien essayé de m'aider à m'en sortir mais je ne l'ai pas écouté. J'ai été exclu temporairement à deux reprises en raison de ma consommation », raconte-t-il. Avant ces exclusions il va « bat son karé » sur le front de mer saint-pierrois. Il se cache à peine pour « râler » deux taffes. De la « qualité » fournie par le frère d'un de ses compagnons de défonce. « Il en ramenait toutes les semaines. Quand je retournais au lycée les choses dégénéraient. » Les bagarres se succèdent sous l'effet du joint. La situation se dégrade également à la maison. Elle désole sa maman, peu habituée à gérer ce genre de crise. « Mon mari a menacé notre fils de le mettre à la rue pour le faire réagir après ses exclusions. Ça n'a pas été évident à gérer. On a décidé de le changer de lycée » dévoile la formatrice. « Toute cette histoire est derrière nous », souffle-t-elle, soulagée. À maintenant 17 ans les choses s'améliorent pour Lionel. Le « petit » brun mesurant 1,82 mètre ramène des bulletins de notes plutôt satisfaisants, passant de 7 de moyenne à 12. Il a su relever la tête. Finis les yeux obscurcis sous l'effet du joint, il a su retrouver le droit chemin.

     

    DIDIER, 16 ans :

     

    Il fume et boit en cachette

     

    Sportif, beau gosse et bon élève, Didier a tout pour lui. Bien dans sa tête et dans son corps, le lycéen originaire du quartier de Goyaves à Saint-Joseph s'écarte de temps en temps de la ligne donnée par ses parents. Parallèlement à ses activités extra-scolaires, le longiligne joueur de football amateur réalise aussi des expériences interdites. « Après la fin des matches ou des entraînements, il m'arrive de tirer sur un joint. Le temps de rentrer chez moi en bus, l'effet a presque disparu », confie-t-il. L'élève modèle de Seconde au Lycée Paul Langevin se destine à reprendre l'entreprise de son père, spécialisée dans le bricolage. Si ce dernier se montre attentif aux résultats scolaires de son fils, ce n'est pas le cas lors des soirées familiales. À l'abri des regards, l'adolescent de 16 ans se laisse aller. « Tout le monde est tellement ivre, y compris mon père, qu'avec mes cousins on parvient à boire quelques verres. »

     

    « On s'isole, on boit du whisky et du rhum cul sec le plus vite possible. J'ai déjà ingurgité cinq verres de ces alcools sans oublier quelques bières. Tous ont vomi sauf moi. » Cet « exploit » lui a quand même occasionné un bon « totochement » de sa mère. En rentrant à la maison, durant le trajet en voiture, elle sent son haleine alcoolisée. « J'ai dit que c'était celle de papa mais elle n'a pas cru ma version. J'ai menti en disant que je n'avais consommé qu'une bière et deux verres de whisky. J'ai été privé de sortie et de sport pendant deux semaines », s'amuse-t-il, fier d'avoir échappé à une plus grosse punition. Didier semble avoir la tête sur les têtes sur les épaules. Équilibré, il mélange malgré tout alcool et zamal. Un cocktail explosif pour celui qui ne reste encore qu'un marmaille.

     

     

    Textes : Juliane Ponin-Ballom et Thomas Selly


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  • Ce que pensent les hommes

     

    • Clicanoo.re

     

     

     

    Pour certains, "les femmes i rodent", pour d'autres, le harcèlement de rue est minable

    (photo d'illustration Eric Lejoyeux).

     
     

     

    ? "Le sifflement et les harcèlements dans la rue, c'est comme la sono à fond dans la voiture : on croit épater son monde, on ne fait en réalité que montrer à tous que l'on est un pauvre petit minable. Je suis un homme, mais ces pratiques-là me dégoûtent".

     

     ? "Je ne cautionne pas cette agressivité, mais faut dire que vous l'avez aussi un peu cherché non ? Il suffit de vous dire simplement "Bonjour mademoiselle", vous répondez : Quel ?! Sorte la, don ! Toué la vi ton guèl ? Ou la bien vi a moin èk ou la ?"

     

     ? "Un cassoss a maté ma femme une fois sur son scooter. Il roulait tout doucement, bouche grande ouverte, et alors que j'étais à côté d'elle. Un autre a fait pareil en voiture : il faisait marche arrière en la regardant de façon perverse jusqu'à ce que sa voiture cogne contre le poteau électrique. Une femme, on peut la regarder car elle est jolie, mais ça se ressent quand on la regarde d'une façon dégueulasse".

     

     ? "Pas tous les homme lé coma, néna encore i respect les femmes, la été bien élevé".

     

     ? "Mette ti jupe, grands souliers talons, ti haut, du style un tantine lé preske tou nue ou koi, après étonne a zot les gars i garde a zot bizarrement et i siffle a zot dann chemin. Pfff… Néna tantines comme fanms i y’aime bien !"

     

     ? "La majorité des filles aiment bien qu'on leur siffle. Tous les jours je siffle après une vingtaine ou plus : elles se retournent et me sourient avec un air que ça ne les dérange pas… Je ne me suis jamais fait refouler parce que je sais m’y prendre quand je siffle".

     

     ? "Des fois, on se fait interpeller bizarrement aussi par des meufs, nous les mecs".

     

     ? "Technique inutile c’est pas comme sa ou va attire un tantine, ou va passe plutôt pou un kaniard"

     

     ? "Ramasse un peu zot boyo et zot tété… Y arrivera pas zot rien !"

     

     ? "Ces femmes si parfaites, rien à redire. On ne peut rien vous reprocher".

     

     ? "Les filles lé très compliquées. Ou di bana un nafair, bana lé pa kontan. Ou di pas zot rien, lé pas kontan même. Faut prendre les choses du bon côté : si i crie à zot i veu dire que zot lé joli, si i crie pas i veu dire le contraire".

     

     ? "Pas facile de savoir que sa copine subit en permanence les assauts barbares d'individus primaires sortis tout droit de l'âge de pierre. Pierre que j'ai failli leur jeter en pleine figure à plusieurs reprises, d'ailleurs... Car pour certains, ma présence n'est même pas un problème".


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  • Saint-Gilles :

    un jeune homme de 24 ans meurt dans un accident de la route

     

     

    • Réunion 1ère
    • Publié le 31/05/2015 | 08:44, mis à jour le 31/05/2015 | 12:05

    Une voiture a été victime d'une sortie de route ce matin vers 4 heures à hauteur de la station-service en direction de l'Ermitage. Un homme de 21 ans et une femme de 24 ans ont été gravement blessés. Un homme du même âge est décédé.

    La voiture a effectué plusieurs tonneaux avant de s'immobiliser © Gendarmerie de La Réunion
    © Gendarmerie de La Réunion La voiture a effectué plusieurs tonneaux avant de s'immobiliser

     

     

     

    6 jeunes âgés de 20 à 24 ans se trouvaient à bord de la voiture accidentée. Le bilan est de 3 blessés léger, 2 blessés grave et un mort. Le jeune homme décédé était un pompier volontaire de la caserne de Petite-Île. Les premières déclarations recueillies laissaient entendre qu'il se serait trouvé sur les genoux d'un ami sur la place à côté du conducteur et aurait été éjecté du véhicule au moment du choc. Selon les gendarmes qui se sont exprimés plus tard dans la matinée, la victime a effectivement été éjectée de la voiture, elle était assise seule aux côtés de la conductrice, mais ne portait pas sa ceinture de sécurité.

     

     

    © Gendarmerie de La Réunion
    © Gendarmerie de La Réunion

     

    © Gendarmerie de La Réunion
    © Gendarmerie de La Réunion

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  • Disparition inquiétante de Jismy Virama Coutaye

     


     
    Disparition inquiétante de Jismy Virama Coutaye
     
     
     
    La famille de Jismy Virama Coutaye lance un appel à la vigilance auprès des Réunionnais.
    Jismy a disparu depuis le 19 mai dans la commune des Avirons où il réside.

    Jismy a 36 ans, il mesure 1m80.
    La dernière fois qu’il a été aperçu il portait un tee-shirt blanc.
     
    Pour tout renseignement, vous pouvez joindre le
    0692 53 04 79 ou le 0692 64 80 02
     
     

     

    Dimanche 31 Mai 2015 - 18:17

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  • St-Gilles:

    Un mort et deux blessés graves après une sortie de route

     


    St-Gilles: Un mort et deux blessés graves après une sortie de route
     
    Un jeune d’une vingtaine d’années est décédé dans un accident de la route ce matin dans l’ouest vers 4 heures 30.
     
    C’est visiblement suite à une perte de contrôle que leur véhicule est allé percuter un arbre avant de se retourner à hauteur de l’entrée de l’Ermitage sur l’ancienne RN1.  
     
    Sur les cinq autres occupants du véhicule, deux victimes sont dans un état grave.
    La violence de l’accident a projeté certains passagers hors de l’habitacle.
    Un jeune homme est décédé.
    Les deux seuls occupants indemnes sont ceux qui portaient leur ceinture de sécurité.
    Le dépistage alcoolémie s’est révélé négatif pour la conductrice.

     

    Dimanche 31 Mai 2015 - 08:34

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  • Un billet d’avion pour dire au revoir à son père en métropole

     


     
    Un billet d’avion pour dire au revoir à son père en métropole
     
     
    C’est l’urgence de la situation qui ordonne aujourd’hui aux amis d’Émilie (prénom d'emprunt) de créer un élan de solidarité, depuis la métropole. Ces mêmes amis qui lui ont fait découvrir leur île il y a quelques années. Mais aujourd'hui, c'est Émilie qui a besoin d'eux et de la générosité des Réunionnais pour faire le chemin inverse.

    Installée depuis 7 ans à La Réunion, mais aujourd’hui handicapée suite à de graves séquelles dues à un accident, une jeune femme de 25 ans se résigne à passer par la case solidarité. Elle souhaite dire au revoir à son père placé en soins critiques dans un hôpital de métropole. C’est donc de façon exceptionnelle que nous relayons cet appel à la solidarité pour le paiement d’un billet d’avion.

    "Je vis actuellement avec 800 euros de découvert. Ma carte bleue est bloquée. Je sais que j’ai une part de responsabilité dans ce qui m’arrive mais je n’avais pas prévu ce cas de figure dans lequel mon déplacement en métropole deviendrait une absolue nécessité", se présente ainsi Émilie.

     La problématique du prix des billets d’avion demeure toujours aussi délicate en cas d’extrême urgence et quel que soit le sens, Réunion/métropole ou l’inverse.

    "Mon père, qui a 62 ans, a fait un accident vasculaire cérébral la semaine dernière. Puis un second AVC il y a quelques jours. Il est plongé dans le coma. Cela fait 5 ans que je ne l’ai pas vu", explique la jeune femme. Son état peut changer chaque jour.  

    "J’ai un peu honte de ce qui m’arrive. Je déteste dépendre des gens", ajoute-t-elle. Mais elle se résout, suite à l’insistance de son amie Eleonore habitant Paris, à mobiliser le plus de monde possible pour contribuer à une cagnotte dont le plafond est fixé à 850 euros. Le prix d’un billet Réunion/Paris pour ne pas avoir de regrets à vie.

    Son amie a ouvert une page sur le site contributif Leetchi.com sur lequel les contributions peuvent démarrer à seulement 1 euro.
    Objectif : 850.  
     

     

    Jeudi 28 Mai 2015 - 18:40

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  • Avis aux sourds-muets trop bruyants:

    les décibels, ça suffit!

     


     
    Avis aux sourds-muets trop bruyants: les décibels, ça suffit!
     
     
    Nous qui pensions que les sourds-muets ne faisaient pas de bruit ! Tout faux ; cette affaire, ce matin au tribunal de Saint-Pierre, bien plaisante au demeurant, l’a largement démontré.

    Appelons-les Frankie et Johnnie, la petite trentaine, habitant Saint-Leu, 1,60 m à tout casser, sourds et muets. Face à ces deux dangereux délinquants, leur " victime ", Herbert, colosse placide, dépassant ses " tortionnaires " de deux bonnes têtes au moins.

    Parce que ce sont bien ces deux petits messieurs qui étaient accusés de " violence en réunion ". Il est vrai qu’à partir de deux, on est en réunion. Brassens dirait " qu’on est une bande de … ", ce qui n’a rien à faire ici en l’occurrence.

    Quatrième personnage à la barre, et non des moindres, le traducteur, qui officiait pour la 1è fois en qualité d’interprète. Ce monsieur, en quelques minutes, a administré aux ignorants, dont j’étais avant de le voir à l’œuvre, que le langage des signes n’est pas du tout quelque chose de simpliste. C’est même un système de communication très précis, très sophistiqué, très structuré. Dans lequel questions et réponses vont aussi vite que dans une conversation entre gens trop bavards comme vous et moi.

    Frankie et Johnnie vivent de l’AAH (allocation adulte handicapé) et ne trouvent pas de travail. Pour échapper à l’ennui qui les ronge, ils reçoivent souvent (parfois plusieurs fois par semaine) leurs amis souffrant du même handicap. Pour jouer à des jeux vidéo.

    Cela dure parfois jusqu’à des heures qu’un honnête ronfleur réprouve, deux, trois heures du matin. Mais ce ne sont pas les consoles de ces acharnés qui font du bruit. Ce sont bel et bien eux, les joueurs, aussi passionnés que n’importe qui. Et qui, à coups de cris sourds (oups !), de grognements, de trépignements, font un bouzin pas possible.

    Des mois durant, Herbert leur a demandé de mettre une sourdine. Peine perdue. Le paroxysme a été atteint le soir du 18 février 2014. Herbert, excédé comme tout dormeur empêché de le faire, est allé chez ses bruyants voisins, a pris des photos. Le ton est monté, on en est un petit peu venu aux mains.

    On a relevé quelques hématomes et contusions sur Herbert, rien de bien méchant. " J’avais un peu mal à la mâchoire ", dira le survivant en se massant le maxillaire inférieur.
    Où l’on se rend compte que si les magistrats avaient pris la peine de se renseigner avant d’inscrire cette affaire comique au rôle, ils auraient épargné leur temps et l’argent des contribuables.

    Car depuis l’altercation, nos amis se sont réconciliés. C’est ainsi que tous sont repartis en se tapant dans le dos après l’énoncé du verdict : quelques centaines d’euros avec sursis et ne recommencez pas, les petits !

    L’avertissement n’est pas tombé dans l’oreille d’un… re-oups !

     

    Mardi 26 Mai 2015 - 17:20
    Jules Bénard

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  • Lutte contre l'homophobie:

    "Le Refuge 974 répond à un réel besoin" selon N.Noguier

     


     
    Lutte contre l'homophobie: "Le Refuge 974 répond à un réel besoin" selon N.Noguier
     
     
    Après une semaine passée à la Réunion, Nicolas Noguier fait le bilan. Le fondateur et président de l’association Le Refuge souhaitait rencontrer la délégation réunionnaise, deux ans après son implantation dans notre département.

    Si le Refuge existe depuis 2003 en Métropole, l’antenne péi est encore toute jeune. L’association vient en aide aux victimes d’homophobie familiale, et principalement aux jeunes adultes de 18 à 25 ans. Écoute, hébergement temporaire, suivi psychologique… Il permet aux victimes de "retrouver une certaine stabilité" et surtout "confiance en soi". 

    "La délégation réunionnaise est l’une des plus actives en termes de visites, constate Nicolas Noguier. Cela prouve qu’elle répond à un réel besoin. J’ai pu voir concrètement tout le travail accompli par l’équipe auprès des jeunes accompagnés. Ils sont épanouis et fréquentent les locaux même lorsqu’ils n’y sont pas obligés". 

    Il faut dire que l’équipe gérée par Thierry Grondin, délégué régional, et Claire Hermand, déléguée régionale adjointe, ne chôme pas. Avec l’aide précieuse de deux psychologues et d’une dizaine de bénévoles, ils suivent actuellement 10 jeunes rejetés par leur famille, avec un roulement de 3 jeunes par mois. Sans compter ceux qui frappent à la porte de l’association simplement pour demander des conseils ou se confier, et ceux qui composent la ligne d’écoute joignable jour et nuit.

    Un an après la nouvelle formule, le Refuge Réunion poursuit son déploiement. Profitant de la présence du président, Nicolas Noguier, ils ont rencontré la semaine dernière plusieurs représentants de l’Etat et des futurs partenaires. Des partenaires encore indispensables, notamment en matière d’hébergement d’urgence. 

    "Nous ne pouvons pas encore loger les victimes à l’association, justifie Thierry Grondin, alors nous travaillons avec le SIAO (Service intégré de l'accueil et de l'orientation) pour les hébergements d’urgence, ou l’association RIVE". 

    "Le Refuge est le reflet du vivre-ensemble"

    RIVE s’associe d’ailleurs pleinement à la lutte contre l’homophobie aux côtés du Refuge. Ensemble, et avec le CHU de la Réunion, ils élaborent actuellement un parcours balisé et simplifié pour les personnes trans-identitaires. Un parcours qui commence dès le suivi social et psychologique, jusqu'à l’hormonothérapie, les prises de rendez-vous avec des spécialistes en Métropole, et enfin l’opération chirurgicale. 

    Discrète jusqu’alors, l’association entend désormais se rendre plus visible pour que les victimes d’homophobie sachent à qui s'adresser. "Sur notre affiche, il y a désormais un numéro local, poursuit le délégué régional. Çà rassure ceux qui n’oseraient peut-être pas appeler". 

    L’équipe ne cache pas non plus son besoin de bénévoles et d’adhérents, "comme toute association"; Mais Thierry Grondin de préciser : "Bien sûr, on peut être hétérosexuel et intégrer l’association. On y côtoie d'ailleurs des personnes de toutes orientations sexuelles, venues de tous horizons sociaux et religieux. Le Refuge est le reflet du vivre-ensemble". 

    Le Refuge, ouvert du lundi au vendredi de 10h à 18h. 357 rue Maréchal Leclerc Saint-Denis
    Ligne d’écoute : 0693 202 145

     

    Vendredi 29 Mai 2015 - 15:22
    GG

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  • Le Réunionnais Thierry Gourreau dans le Top 10 des meilleurs pizzaïolos du monde

    • Réunion 1ère
    • Publié le 30/05/2015 | 10:26, mis à jour le 30/05/2015 | 10:26

    Thierry Gourreau a décroché la 6ème place aux championnats du monde de pizza qui se sont déroulés à Parme, en Italie. Le pizzaïolo du Tampon a tenu la dragée haute à de nombreux représentants de l'élite mondiale grâce à une création en version créole.

    La joie de l'équipe Réunionnaise qui a porté haut les couleurs de son île (Source Facebook)
    La joie de l'équipe Réunionnaise qui a porté haut les couleurs de son île (Source Facebook)

    Thierry Gourreau a également remporté le titre de meilleur Français au  concours mondial. Les trois autres Réunionnais, Valérie, Jean Christophe et Allessandro, n'ont pas démérité lors de cette compétition qui s'est achevée hier soir..

    CONCOURS PIZZAIOLO

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  • Cinq personnes fauchées par deux voitures à la Grande-Montée

     


     
    Cinq personnes fauchées par deux voitures à la Grande-Montée
     
     
    Cinq personnes ont été fauchées par deux voitures ce matin à la Grande-Montée à Sainte-Marie, et les circonstances de ce sur-accident sont bien étranges. Un homme de 34 ans aurait d'abord été percuté par un automobiliste vers 7h. Ce dernier a pris la fuite, laissant sa victime au bord de la route, blessée à la tête.

    Des riverains se sont alors précipités sur les lieux pour lui porter secours lorsqu'un deuxième véhicule percute quatre autres personnes. Le conducteur a indiqué avoir été aveuglé par le soleil. Trois des victimes ont été transférées à l'hôpital.

     

     

    Vendredi 29 Mai 2015 - 11:52

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  • Seuls 3 policiers étaient sur les lieux de l'accident cette nuit

     


     
    "Seuls 3 policiers étaient sur les lieux de l'accident cette nuit"
     
     
    Un policier a été fauché ce samedi matin vers 3h sur la quatre voies de Saint-Pierre. Si son état n’inspire plus aucune crainte, cet accident réveille chez les policiers leurs inquiétudes maintes fois répétées auprès de leur autorité de tutelle.
     
    Le syndicat Alliance Police Nationale met en avant le "manque criant d’effectif la nuit dernière" lorsque leurs collègues sont intervenus sur cet accident vers 2h du matin. "Ils n’étaient que trois sur les lieux'"à gérer un accident, tout en tentant de réguler la circulation pour éviter la survenue d’un nouveau carambolage. Ce sur-accident est cependant intervenu.
     
    "La sécurité pour nos concitoyens est déjà en baisse", déplore Idriss Rangassamy, le secrétaire régional d'Alliance Police nationale. Il évoque, rien que sur les zones police de Saint-Pierre, Saint-Denis, la série d'agressions sur le front de mer ou celle des braquages contre des commerces.
     
    Alliance annonce qu’il redoublera de vigilance dans les jours à venir, à l’occasion de moments décisifs pour les policiers réunionnais.
     
    Le syndicat attend l'issue de la tenue de la commission de mutation qui intervient la semaine prochaine. Les derniers échos qui remontent en ce qui concerne ce mouvement 2015 de mutation sont carrément en-deçà des revendications de la corporation.
     
    Seuls 1 ou 2 policiers réunionnais figureraient dans cette liste. "On est très loin du compte", ne peut que s’en étonner Idriss Rangassamy. Si ce nombre venait à être confirmé la semaine prochaine à l’issue de cette commission, il ne changerait pas le discours très direct du syndicat.
     
    "On a l’impression qu’on nous enfume et que c’est la population qui trinque". Alliance Police Nationale garde en effet en mémoire le soi-disant renfort de 30 policiers annoncé en grande pompe l’année dernière par le ministre de l’Intérieur.
     
    Après avoir eu le sentiment de s’être fait avoir, le syndicat a prévu de se faire entendre lors de la visite du Premier ministre au mois de juin.
     

     

    Samedi 30 Mai 2015 - 11:45

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  • Un policier percuté sur la quatre voies de St-Pierre

     


    Un policier percuté sur la quatre voies de St-Pierre
     
    Un fonctionnaire de police a été percuté par un véhicule vers 3h ce matin sur la quatre voies Saint-Pierre/Saint-Louis à hauteur de Pierrefonds.
     
    Les forces de l’ordre intervenaient sur la voie rapide suite à un premier accident consécutif à une voiture folle qui venait d’emprunter quelques minutes plus tôt l’axe en sens inverse de la circulation.
     
    C’est donc au moment de leur intervention qu’un sur-accident est intervenu. Le conducteur ayant causé ce deuxième accident sur ce policier en service était dans un état alcoolisé. Quelques secondes avant le sur-accident, il venait de dépasser les secouristes qui se rendaient sur le premier accident. Son véhicule roulait à vive allure selon les témoins.

    L'auteur de la remontée de quatre voies à contresens était lui aussi en état d'ébriété. Dans sa course folle, il a percuté deux véhicules venant en sens inverse.
     
    L’agent de police est blessé à la jambe et au bras. Il est hospitalisé au centre hospitalier de Terre sainte. Son pronostic vital n'est pas engagé.
     

     

    Samedi 30 Mai 2015 - 08:17

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  • Décès d'un bébé de 11 mois à St-Paul: La mère dort en prison


     
    Décès d'un bébé de 11 mois à St-Paul: La mère dort en prison
     
     
     
    Suite à la mort d'un bébé de 11 mois mercredi à la Plaine Saint-Paul, la mère de la fillette a été placée en détention provisoire pour meurtre.

    La jeune femme a avoué avoir étranglé l'enfant dans son sommeil sans exprimer de regrets devant le juge des libertés et de la détention.

    Il semblerait qu'elle souffrait de dépression, aurait fait une tentative de suicide et aurait considéré que le bébé mettait son couple en péril. Elle se serait même persuadé que la petite était handicapée, ce qui n'était pas le cas, selon un pédiatre.

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  • Mutation des policiers:

    La "pré-liste" ne contiendrait qu'un seul Réunionnais

     


     
    Mutation des policiers: La "pré-liste" ne contiendrait qu'un seul Réunionnais
     
     
    Il semblerait que la polémique de la mutation des policiers ultramarins perdure... Une pré-liste de personnes sélectionnées pour les mutations cette année a été dévoilée aux acteurs concernés. Une liste décevante, selon le collectif GPX 974 qui œuvre pour le retour de plus de Réunionnais sur le territoire, car elle ne contiendrait qu'un seul Réunionnais.

    Si la liste n'est pas définitive, les discussions seront néanmoins engagés la semaine prochaine. GPX 974, ainsi que le Codium (Collectif pour la défense des intérêts des ultramarins) comptent "faire un gros forcing" pour que davantage de Réunionnais y soient intégrer.

    GPX 974 prend évidemment mal la nouvelle. "Un enfumage du gouvernement" qui avait accepté le système de points et d'intérêts matériels et moraux proposé et "avait envoyé le ministre de l'Intérieur l'année dernière pour annoncer le renfort de 30 personnes"... C'est ce qu'affirme aujourd'hui le collectif, persuadé que ses efforts n'ont pas abouti. "On a l'impression qu'on est pénalisé dans les mutations prévues en septembre à cause des renforts de l'année dernière", avoue un représentant syndical de la police réunionnaise.

    Les différents collectifs espèrent voir une trentaine de personnes à nouveau cette année, que ce soit des Réunionnais avec des attaches sur l'île ou des métropolitains ayant réitéré leur demande à plusieurs reprises et non "en fin de carrière".
     

     

    Vendredi 29 Mai 2015 - 17:39

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  • Les Jeux des Iles recherchent hôtesses et chauffeurs

    • Clicanoo.re
    • publié le 28 mai 2015
    • 18h55
     
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    Les 9èmes Jeux des Iles de l’Océan indien auront lieu à La Réunion, du 1er au 9 août de cette année. L’organisation se met peu à peu en place, et les besoins se précisent. Ainsi, le COJI (Comité d’organisation des Jeux des Iles) recrute actuellement 50 hôtes et hôtesses d’accueil ainsi que 30 chauffeurs disponibles du 1er au 9 août.

    Les personnes intéressées sont invitées à se renseigner auprès du COJI, au 0262 73 19 90, ou par mail au coji.reunion@gmail.com.

     

    http://www.clicanoo.re/476513-les-jeux-des-iles-recherchent-hotesses-et-chauffeurs.html#.VWc2lq5_33I.facebook


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  • Une gramoune de 93 ans violée à l'EHPAD de Saint-Paul

    • Réunion 1ère
    • Publié le 28/05/2015 | 19:56, mis à jour le 29/05/2015 | 10:10

     

    Un crime particulièrement odieux qui s'est déroulé dans la nuit de mardi à mercredi

    © Gendarmerie Nationale
    © Gendarmerie Nationale
     
    Le violeur présumé, âgé de 24 ans, a été interpellé et sera présenté au Parquet de Saint-Denis vendredi 29 Mai. Les faits remontent à la nuit de mardi à mercredi. Un homme s'est introduit dans les locaux de l'EHPAD de Saint-Paul. L'individu, connu des services de police, a alors violé une femme de 93 ans. Trois autres personnes âgées ont été agressées sexuellement. La liste des victimes pourrait être plus importante encore. Rapidement identifié, l'individu a été interpellé dès mercredi par les gendarmes de Saint-Paul. 

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