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L'honneur de la toute première visite a été accordé aux anciens travailleurs de l'usine
Le Stella Matutina sera rendu au public dimanche 7 mai 2015, après quatre ans de travaux et 47 millions d’euros investis.
Plus qu’une simple rénovation de l’existant, le musée, symbole de l’âge d’or sucrier à La Réunion, voit sa superficie doubler. 35.700 m2 en tout.
Son contenu se tourne lui aussi vers le futur, en essaimant, tout le long du parcours de visite, 48 dispositifs multimédia. Le jeune public y trouvera son compte, tandis que les anciens ne manqueront pas de poser la main sur les murs bruts de l’usine, ou sur les vestiges des pièces d’engrenage. 60 machines jalonnent le parcours du visiteur, toutes alignées, dans le but de reproduire au mieux la chaîne de fabrication du sucre.
Les anciens, justement, étaient invités hier par la Région à visiter, en avant-première, le nouveau visage du musée. "On a rencontré les anciens ouvriers en 2011 pour la première fois", indique le maître d’ouvrage du nouveau Stella. Ce qui a guidé l’action de l’architecte, c’est de proposer un musée où l’humain est plus présent, grâce à "un travail de récolte des témoignages. Leur parole se retrouve dans ce musée". La présentation du processus de production du sucre est plus claire. 580 objets de collection y sont exposés. Stella Matutina, c’est aussi désormais 5 espaces muséographiques, une salle d’exposition temporaire et surtout, une salle de spectacle de 1.500m2 d’une capacité de 440 places.
"On a voulu insister sur le travail de mémoire. C’est un lieu rempli d’histoire", évoque le président de Région, Didier Robert. A ses côtés, son vice-président en charge de la culture, Jean-François Sita, déborde du cadre solennel, pour évoquer ses liens familiaux avec l’industrie de la canne à sucre. C’est à ce moment que l’on comprend que l’industrie du sucre n’est qu’un prétexte pour finalement parler d’une grande partie de l’Histoire de notre île. Pour qu’"aucun jeune ne vienne à oublier cette histoire", un signal fort est envoyé à ce public jusqu’à la fin des vacances scolaires, informe le président de Réunion des musées régionaux (RMR). La gratuité sera totale pour les jeunes, jusqu’à 18 ans inclus, jusqu’à la fin des vacances d’août.
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Promotion de la destination : Des agences de voyages belge et métropolitaine ainsi que des journalistes de revues spécialisées assistaient hier à l'inauguration en avant-première du musée. Ils sont à La Réunion à l'initiative de l'IRT. Une agence suisse est attendue pour l'inauguration ce week end.
Plus qu’une simple rénovation de l’existant, le musée, symbole de l’âge d’or sucrier à La Réunion, voit sa superficie doubler. 35.700 m2 en tout.
Son contenu se tourne lui aussi vers le futur, en essaimant, tout le long du parcours de visite, 48 dispositifs multimédia. Le jeune public y trouvera son compte, tandis que les anciens ne manqueront pas de poser la main sur les murs bruts de l’usine, ou sur les vestiges des pièces d’engrenage. 60 machines jalonnent le parcours du visiteur, toutes alignées, dans le but de reproduire au mieux la chaîne de fabrication du sucre.
Les anciens, justement, étaient invités hier par la Région à visiter, en avant-première, le nouveau visage du musée. "On a rencontré les anciens ouvriers en 2011 pour la première fois", indique le maître d’ouvrage du nouveau Stella. Ce qui a guidé l’action de l’architecte, c’est de proposer un musée où l’humain est plus présent, grâce à "un travail de récolte des témoignages. Leur parole se retrouve dans ce musée". La présentation du processus de production du sucre est plus claire. 580 objets de collection y sont exposés. Stella Matutina, c’est aussi désormais 5 espaces muséographiques, une salle d’exposition temporaire et surtout, une salle de spectacle de 1.500m2 d’une capacité de 440 places.
"On a voulu insister sur le travail de mémoire. C’est un lieu rempli d’histoire", évoque le président de Région, Didier Robert. A ses côtés, son vice-président en charge de la culture, Jean-François Sita, déborde du cadre solennel, pour évoquer ses liens familiaux avec l’industrie de la canne à sucre. C’est à ce moment que l’on comprend que l’industrie du sucre n’est qu’un prétexte pour finalement parler d’une grande partie de l’Histoire de notre île. Pour qu’"aucun jeune ne vienne à oublier cette histoire", un signal fort est envoyé à ce public jusqu’à la fin des vacances scolaires, informe le président de Réunion des musées régionaux (RMR). La gratuité sera totale pour les jeunes, jusqu’à 18 ans inclus, jusqu’à la fin des vacances d’août.
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Promotion de la destination : Des agences de voyages belge et métropolitaine ainsi que des journalistes de revues spécialisées assistaient hier à l'inauguration en avant-première du musée. Ils sont à La Réunion à l'initiative de l'IRT. Une agence suisse est attendue pour l'inauguration ce week end.
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