Ce même-jour, l’homme s’était enchaîné dans la matinée devant la préfecture de Saint-Denis. Une action coup de poing pour dénoncer surtout l’absence de célébration de l’abolition de l’esclavage, officiellement fixée le 10 mai par une loi de 2008.
Jusqu’au 30 juin, Kafyab arpente ainsi les villes et sentiers de l’île pour faire connaître ses revendications à la population, expliquer sa démarche. Ce vendredi, il quitte le Sud au départ de Saint-Louis pour se rendre au Guillaume. Prochaine étape: Mafate, ce week-end.
Selon le JIR, Christophe Barret souhaite non seulement que le 10 mai soit célébré à la Réunion, comme c’est le cas dans en Métropole et dans d'autres DOM, mais réclame aussi "la reconnaissance du principe de réparation de ce crime qu'est l'esclavage".
Toutes les étapes de son aventure sur Facebook: Somin Simandèl