Voir tous les tags
Source: Sergio Burger (D.R)
"Grâce à vous, Saint-Denis est devenue une ville 100% hallal ! J’avais envie de manger du bon bacon et j’ai fait demi-tour quand j’ai vu votre carte dans le resto de la capitale… C’est vraiment du gâchis". Il y a quelques jours, un internaute exprimait sa "déception" sur la page Facebook de Sergio Burger face à la carte du restaurant.
Jusqu'ici, rien de bien particulier... Les critiques - bonnes ou mauvaises- de clients sont devenues fréquentes sur la toile au point qu'il existe des sites spécialisés. Pourtant, une petite polémique est née sur le réseau social suite au commentaire. La raison ? La réponse du gérant de la chaîne de fast-food, qui a répondu dans un premier temps : "Rentre en France..."
Des propos jugés "racistes" selon certains internautes. Face au tollé provoqué, le gérant a ensuite précisé : "Rentre dans l’Hexagone, là où ce genre de polémiques existe. Nous n’en voulons pas à la Réunion, où des compromis permettent aux différentes communautés de vivre en paix". Si la conversation a été supprimée depuis, le restaurateur a bien voulu revenir sur une polémique qu’il dit "ne pas comprendre".
"Un choix qui n'exclut personne"
"Je suis choqué et blessé, commente-t-il. Nous proposons de la viande hallal dans notre établissement de Saint-Denis (et pas à Saint-Gilles, ndlr) parce que cela répondait à une demande. Et nous avons, comme tout commerce, réalisé une étude en amont." Et d’ajouter : "Tout le monde a le droit d’aller au restaurant. Ce n’est pas au client de nous imposer ses règles".
"Proposer de la viande hallal permet d’inclure toute la population, et non d’exclure certaines personnes, ajoute Raoul Mandy, responsable communication à Sergio Burger. Tout le monde peut manger hallal sans que cela pose problème. Nous le pratiquons de la même façon que le font Quick et MacDo".
"La règle de base dans le commerce est de n’exclure personne, répète-il.. Le gérant de la chaîne de fast-food et le responsable communication s’accordent à penser que les polémiques autour de la laïcité et "du communautarisme de Métropole commencent à se répercuter à la Réunion". "Notre île a toujours été un modèle de vivre-ensemble. Nous espérons que ces débats n’auront pas lieu ici", concluent-ils.
Jusqu'ici, rien de bien particulier... Les critiques - bonnes ou mauvaises- de clients sont devenues fréquentes sur la toile au point qu'il existe des sites spécialisés. Pourtant, une petite polémique est née sur le réseau social suite au commentaire. La raison ? La réponse du gérant de la chaîne de fast-food, qui a répondu dans un premier temps : "Rentre en France..."
Des propos jugés "racistes" selon certains internautes. Face au tollé provoqué, le gérant a ensuite précisé : "Rentre dans l’Hexagone, là où ce genre de polémiques existe. Nous n’en voulons pas à la Réunion, où des compromis permettent aux différentes communautés de vivre en paix". Si la conversation a été supprimée depuis, le restaurateur a bien voulu revenir sur une polémique qu’il dit "ne pas comprendre".
"Un choix qui n'exclut personne"
"Je suis choqué et blessé, commente-t-il. Nous proposons de la viande hallal dans notre établissement de Saint-Denis (et pas à Saint-Gilles, ndlr) parce que cela répondait à une demande. Et nous avons, comme tout commerce, réalisé une étude en amont." Et d’ajouter : "Tout le monde a le droit d’aller au restaurant. Ce n’est pas au client de nous imposer ses règles".
"Proposer de la viande hallal permet d’inclure toute la population, et non d’exclure certaines personnes, ajoute Raoul Mandy, responsable communication à Sergio Burger. Tout le monde peut manger hallal sans que cela pose problème. Nous le pratiquons de la même façon que le font Quick et MacDo".
"La règle de base dans le commerce est de n’exclure personne, répète-il.. Le gérant de la chaîne de fast-food et le responsable communication s’accordent à penser que les polémiques autour de la laïcité et "du communautarisme de Métropole commencent à se répercuter à la Réunion". "Notre île a toujours été un modèle de vivre-ensemble. Nous espérons que ces débats n’auront pas lieu ici", concluent-ils.
Suivre le flux RSS des commentaires
Ajouter un commentaire
Créer mon blog